Ça a commencé par ma grande au déjeuner. Mais ça lui arrive de temps à autre quand elle nous finit un rhume (et c'était le cas) d'être malade. Elle avait le moral, mais je la trouvais plutôt blanche. Mon homme l'a quand même accompagnée à son cours de piscine. Évidemment, il est rentré plus tôt... elle a évité de contaminer la piscine, mais elle n'a pas épargné la voiture, pauvre cocotte.

Jusque là, on croyait que ce n'était qu'elle qui était malade. On a réussi à informer nos invités avec bébés des risques de venir fêter Dédé en leur laissant savoir qu'on comprenait (qu'à la limite on les encourageait) à demeurer chez eux. Évidemment, on n'a pas joint tout le monde à moins d'une heure de l'arrivée. Nos familles dévouées n'en ont pas fait de cas, souhaitons quand même que personne ne soit malade à cause de nous!

Et puis en réveillant le fêté de sa sieste matinale, il a imité sa soeur... Puis profitant qu'il était calme et avait encore le moral, on a débalé quelques cadeaux. Et puis hop, devant tout le monde au travers les cadeaux. Ouf, on nettoie et on recouche le pauvre fêté, qui officiellement laisse la vedette à la gastro.

Il reste le gâteau... Mais comme c'est triste que le fêté ne souffle pas la bougie... qu'il ne puisse pas patouiller dans sa part... qu'on ne puisse pas immortaliser tout ça en photo.

Heureusement qu'il faisait un temps splendide en ce samedi midi, à tout le moins, on a pu faire entrer un peu d'air pur dans la maison et profiter que les enfants dormaient pour aller placotter au soleil sur la terrasse! Ah et que de gaspille de buffet froid en plus! J'ai eu beau distribuer des plats de restants à plusieurs, on mangera jamais tout ça... à deux!

Pour l'instant, les parents semblent épargnés par la vilaine gastro (Thanks God!). N'empêche qu'on a TRÈS hâte que tout ça soit derrière nous! Et dans mon cas, qu'on puisse vite oublier cette déception en se reprenant l'an prochain!

Pourtant, ils traversent les mêmes défis d'apprentissage! Il faut dire que dans le cas de Dédé, le tout s'est déroulé tellement dans le calme et avec le sourire (autant de sa part que de la nôtre), que ça aide beaucoup à faire parraître le temps plus court!

Il me semble que c'était hier que je me "sauvais" de l'hôpital avec notre petit boxeur, que j'étais comblée de bonheur d'avoir connu la magie de l'accouchement naturel! Ah juste d'y penser, je suis prête à recommencer! Hihi!

Alors bon anniversaire mon beau petit homme d'amour! Mon petit charmeur qui me fait des beaux yeux, qui est si souriant et ricaneux. Qui me laisse le gaver à volonté de câlins et de chatouilles. Qui est si plein d'amour pour sa grande soeur. Qui me rend si fière... et qui grandit tellement vite!

Je t'aime à la folie mon coco! 

Bref, c'est en les cotoyant et en voyant les expressions de surprise sur leurs visages que je me suis rendue compte à quel point j'ai un penchant techno-paresse assez évident!

Voici donc mon top 5 de techno-paresseuse:

J'ai bien beau adorer (et le mot est faible) notre nid d'amour, on dirait que ses défectuosités dépasseront toujours les limites de mon imagination. Mon homme me dit que c'est le prix à payer pour que nous soyons si heureux... bien je commence à le trouve bien incroyable ce prix!

J'ai tenté d'y aller par priorité et j'ai commencé à travailler pour l'entreprise de pompage de mon beau-frère. J'ai commencé par réaliser son nouveau modèle de facture. Oui, ça m'arrive de faire du design pour l'impression même si ce n'est pas ma spécialité. Contraintes différentes et stimulantes je trouve. Bref, maintenant qu'il peut facturer, il veut aussi son site. Alors j'ai réalisé un premier design pour lui au courant de la semaine dernière. Je l'ai terminé durant la sieste des cocos hier... et semblerait que ça été un coup de foudre instantanné pour lui! Youppi! C'est comme ça que j'aime ça!

Curieux, vous voulez voir ce que ça donne en? Et bien cliquez-ici!

Reste maintenant à lui donner vie à ce design! Il me reste 10 jours avant de rencontrer mon prochain client, alors pas de temps à perdre! Surtout que mon beau-frère à trouvé une autre urgence à me refiler: ses dépliants! On lâche pas la patate!

Mimi m'arrive au pas de course, tout sourire, une figurine à la main, en me criant "Maman, maman yé touvé mon ti-potam!"

Hier, il n'y avait pas de 

Nous faisons rarement des sorties sans enfant, mais je vous avoue qu'avoir su, je me serais passé de celle là.

Je ne suis plus une cinéphile très assidue, je vois deux ou trois films par mois en moyenne. Et oui, je suis plutôt émotive comme fille, celle qui fait des sauts à rien. Mais là, j'en reviens toujours pas de ce que j'ai vu samedi soir.

J'aime pas trop faire la critique d'un film, les goûts ça se discutent, mais là ce n'est pas tant le scénario du film qui me fait réagir que le comment on nous l'a présenté. C'était cru, tellement cru comme violence, comme immoralité, comme images. Complètement dépouillé de message ou d'une quelconque forme de positif... Comme collection de traumatismes en un seul et unique film, je n'ai jamais vu pire. On y voit une femme se faire battre et violer, un violeur-meurtrier d'une petite fille admettre son crime sans sourciller, des scènes de guerre, une femme enceinte être assassinée, tout un tas de personne mourir gratuitement, des amis s'entre tuer... et j'en passe. Tout le pire de l'être humain, son niveau le plus destructeur, totalement gratuitement. Pour servir quel propos? Pour divertir qui? 13 ans et plus, c'est une farce?

Et ce n'est pas comme un film de zombies ou autre qui a ce côté irréaliste ou exagéré, non c'est tout trop réel, trop vrai, trop "bien fait" comme on pourrait dire.

Ce qui m'a jeté par terre aussi, c'est sur le chemin du retour, j'étais encore bouleversée de tout ce que j'avais vu, j'en revenais pas qu'on payait pour voir ça, qu'on difusait ça et puis mon mari lui, n'avait pas adoré le film... mais l'avait tout de même apprécié?! Là je ne comprenais pas. 

J'ai manqué quelque chose ou le niveau de violence acceptable par la société a fait un bond de géant le temps que je m'occupais de mes petits amours? Ou sommes-nous devenus insensibles à ce point?

Juste en allant chercher les billets au distributeur avec mon amie, des jeunes se poussaient avec assez de violence "pour le plaisir" (j'avais envie de m'arrêter... et pratiquement appeler la police tellement j'étais pas certaine si c'était vraiment pour le plaisir...), se criaient des injures "entre amis"... Leur "normalité" me parraissait bizarement violente... Mais après le visionnement de ce film, ça beau être commun, le lien se fait tout seul!

S'ils voient des images comme ça, dans un contexte aussi cru et SURTOUT sans aucune moralité, c'est leur servir allègrement des "c'est normal de la violer si tu la trouves belle", "c'est aussi une bonne idée de tuer ceux qui te dérangent ou qui sont dans ton chemin", "ah oui et c'est correct de t'identifier à eux, ce sont des supers héros normaux"... Au secours!

En tout cas, pas besoin de vous dire que je dors très mal depuis samedi... et que j'aimerais bien savoir que je ne suis pas la seule à trouver ce film complètement... hors limite!

Dédé nous a fait un beau paquet de faux départs (4x 6h de contractions pour être précis) et il s'est laissé désirer jusqu'à la DPA. Quand je suis arrivée à l'hôpital vers 23h, j'étais déjà à 4 et demi suite à tout ce travail en intermitence. J'essayais de ne pas avoir trop d'attentes, mais j'osais quand même espérer que je n'en aurais pas pour 24h!

Malgré tout, le travail avançait à pas de tortue... Au matin, je suis seulement à 5 et demi. On m'avait déjà clouée au lit sur le côté gauche, monitoring en permanence, soluté pour hydrater l'utérus, oxygène, allouette! Dédé n'aimait pas plus que ça les contractions prisent à la verticale, son tracé de moniteur en faisant foi. Je suis presque en train de dire aurevoir à mon AVAC, une infirmière commence à me parler de césarienne... Mais jusque là, je n'ai toujours pas vue ma doc, j'ai désespérément hâte qu'elle arrive pour obtenir son opinion et surtout ses conseils. 

Enfin la voilà, elle fait ni une, ni deux et me crève mes eaux. Suite à quoi, elle me dit avec toute l'assurance et l'optimisme du monde: "Tu accouches avant midi, je te le garantis!". J'ai jamais vu personne d'aussi convaincue que ça, elle m'a litérallement donné des ailes (et j'en ai eu besoin!). Les contractions sont ENFIN efficaces, en moins d'une heure, je suis à 8 et demi, quel bonheur! Mais encore là, un sentiment de déjà vu commence à prendre place. On est septique sur le positionnement du petit homme. Voici le retour de la machine à écho sur le pouce. Mon coeur fait trois tour, je me sens dans un mauvais soap américain: on ne comprend pas comment il est placé! À force de promener la sonde dans tous les sens, positionner les divers os du corps, on finit par comprendre enfin: monsieur arrive par le visage!?

La première chose de lui qu'on a vu ce ne sont pas des cheveux comme la plupart des bébé, mais bien sa petite langue et sa bouche, suivi de son menton et son nez!!! Ma doc est prise d'un "bien voyons dont, ça s'peut pas!". Elle appelle la gynéco avec pour seules questions "Est-ce que ça s'accouche? Comment je l'aide sans ventouse, ni forcep?". De mon côté, je commence à trouver ça fou tout ça et je sens le goût de pousser. Vérification faite, Dédé est dans un sens qu'il est théoriquement possible d'accoucher (ouf!), alors tout le monde se met ensemble pour me motiver : "essaie toi et pousse!!!!!!!!!". Et bien, je le crois pas encore (j'avais si peur de lui briser le cou), mais il est sorti naturellement... et à 11h53am! J'ai accouché naturellement! Pas même d'épidurale! 

On s'entend cependant qu'il n'était pas très joli à voir les premières 48h. Même un boxeur sorti du ring est sans doute plus joli. Pauvre petit loup, les lèvres en chou-fleur, le visage enflé et bleu, les cloques d'eau partout, rien pour le mettre à son avantage! Mais bon, notre boxeur était bien bâti, il faisait carrément le double du poids de sa soeur, avait l'appétit du combatant et étais doté d'un calme olympien. Et moi, je ne portais plus à terre, j'avais découvert une force insoupçonnée, une fierté d'être femme que je n'aurais jamais imaginé, je n'avais pas de douleur à gérer (ou presque), pas d'effet zombie d'après anesthésie: le bonheur TOTAL!

Oh et quel doux plaisir qu'il occupe le petit lit dans notre chambre! Qu'on puisse le prendre à volonté! Qu'on puisse entendre tous ses petits sons! Et j'en passe! À notre congé de l'hôpital, j'avais l'impression de me sauver en douce, que c'était illégal!

Là, on a connu ce que c'est que la joie pure et simple de devenir parents! Et j'en remercie l'univers tous les jours! C'est cet accouchement qui me donne envie de recommencer autant de fois que possible!

Je disais que j'aimais bien raconter mes accouchements bourrés de surprises... alors pourquoi pas commencer par là! Disons que dans mon cas, ce n’est pas trop commun, à vrai dire, j'ai plutôt le karma de l'exception qui confirme la règle. 

Hey bien mon aventure commence au début de l'année 2005. Ça y est on est prêt. J'ai arrêté la pilule fin 2004. Je tombe enceinte pour la première fois. On est vraiment excité! La grossesse va bien, ça bouge en titi là-dedans. On décide d'acheter une maison en campagne pour y établir la future petite famille. 

Arrivée à 21 semaines, je passe 

la classique échographie et c'est là que rien ne va plus. Notre coco a une aorte, un ventricule gauche et une oreillette gauche tous si petits, qu'ils ne peuvent les mesurer. Son sang circule grâce à moi. Une écho-cardiaque à Sainte-Justine nous confirme nos pires appréhensions: semi pas vraiment opérable... En vérité, on nous offre tout de même le choix de tenter 5 opérations avant ces 5 ans, dont la première après une semaine de comas artificiel... pour en bout de ligne avoir son sang oxygéné toujours mêlé à son sang non-oxygéné. La première opération comportait un maigre 40% de chance de réussite. Autrement dit, un enfant avec une très hypothétique qualité de vie. 

S'en suit donc un "choix de parent" un peu avant le temps, celui justement de faire 

le deuil d'être parent. Un accouchement est donc induit quelques jours plus tard. Mais dans toute cette malchance, on a tout de même une chance inouïe: celle d'être merveilleusement bien entourés. Ma doc est un ange tombé du ciel et passe TOUTE sa journée de congé avec nous lors de l'arrêt de grossesse et s'arrange même pour que ça se déroule dans son hôpital. Évidemment, épidurale et compagnie, tous me répètent en boucle: "ça ne sert à rien de souffrir, tu n'auras pas le fruit de tes efforts". Mon mari, nos collègues de travail, nos familles, tous se sont montrés extrêmement compréhensifs de sorte que pour nous, ce petit garçon est le petit ange qui veille sur nous. Ce petit vigoureux nous a appris qu'on a beau vouloir des enfants, ils ne nous appartiennent pas.

Quelques mois plus tard, grâce à beaucoup de communication entre mon homme et moi, nous avons accepté notre épreuve et sommes à nouveau prêt à tenter de bâtir notre famille. Bébé de St-Valentin, Mimi nous surprend et voit le jour à l'automne 2006, un mois avant son temps. Après 18h de travail, je suis à 7 et demi et les choses vont bien, je suis agréablement surprise que ce soit si... endurable. Excepté que toutes les infirmières sont septiques... est-ce bien une tête!? Ma doc arrive, elle doute aussi, écho rapidos: fouan-fouan-fouan ce sont des fesses. Et hop, dans le temps de le dire, me voilà en césarienne d'urgence. 

Mimi nous réservait aussi une autre petite surprise, elle avait eu un petit retard de croissance in-utéro. Elle faisait un peu moins de 4 lbs. Notre petite émotive a aussi trouvé son périple de naissance un peu stressant, de sorte que la première semaine, elle n'a rien pu garder, devenant ainsi encore plus menue. Je ne vous dis pas dans quel état de stress elle nous a tous plongés! Quelques tests plus tard, il s'agirait d'ulcères d'estomac. Médication, jaunisse qui s'en mêle, bref notre séjour à l'hôpital se poursuivit pendant 15 longs jours. Nous y avons fait bon nombre de rencontres de parents, eux aussi les émotions à fleur de peau, souvent de jumeaux ou de jumelles qui se meurent d’enfin rentrer à la maison en famille. C'est dans les épreuves qu'on se serre les coudes, n'est-ce pas?! Certains parents connus à la pouponnière sont devenus des amis aujourd'hui!

Mimi s'est bien remise de toutes ces péripéties et aujourd'hui est en parfaite santé, Dieu merci!

On se surprend souvent à rire de comment nous étions devenus paranos à notre retour à la maison. À noter tous les détails des boires et miction de notre choupette... jusque vers 5 mois?! Comme si on avait peur qu'un pédiatre sorte du garde-robe et nous pose un examen surprise!

Nous sommes bien contents de ne pas avoir trop tardé à lui faire un petit frère! On se sent bien loin de là avec notre petit homme, tellement loin!

Sur ce, comme dirait mon homme: "fait leur pas peur avec tes wall of text là!". La suite demain!

D'abord, j'ai omis de faire mention, dans mon tout premier billet, d'une autre source de motivation non négligeable pour le démarrage de ce blog: ma chère cousine adorée JulieJulie. Vous la connaissez peut-être (sinon je vous invite à la visiter), elle blogue depuis plusieurs années et je ne me lasse pas de la lire. C'est ni plus ni moins elle qui m'a fait connaître toute l'effervescence qu'il y a sur la blogosphère, toute la diversité... et tout l'intérêt qu'il peut y avoir pour soi et pour les autres de bloguer.

Ça me fait drôle car aujourd'hui, celle qui m'inspire se pose à son tour cette question qui m'a hanté si longtemps: mais pourquoi dont blogguer?

Ça été le frein principal au démarrage de mon blog cette question. Parce qu'on s'entend qu'en étant graphiste web, le volet technique ne me faisait pas sourciller, j'ai même aidé certains amis à démarrer leur propre blog. Qu'est-ce que mon blog pourrait bien offrir, quel intérêt pourrait-il représenter pour un lecteur?

Et c'est à force de lire tous ces blogs que je me suis répondue toute seule: tout simplement pour moi, pour avoir mon espace d'expression, pour faire partie de ce magnifique réseau de mamans qui s'extirpent de l'isolement, pour partager ce que je vis... à ceux et celles que ça intéressera... ou pas!

Je ne cache pas que j'aurais aimé avoir la touche toute spéciale qui me différencie, le talent particulier ou le style d'écriture étonnant de certain(e)s. J'ai plutôt fait le choix de livrer ce que je suis, comme ça me viendra, avec le soucis de ne pas trop m'éparpiller. 

Comme le commentait Mme Unetelle Québec: le blog rend enfin les gens ordinaires aux quotidiens extraordinaires librent de s'exprimer alors que c'était impossible avant. Alors qui sait où ça nous mènera?

J'aime aussi beaucoup le point de vue de Mamamiiia qui disait dans son entrevue à e-Zabel : "De toutes les époques, jamais la vie des mères n’a été si bien documentée. Tous ces blogues sont de formidables témoignages pour les générations futures." Et c'est vrai que dans quelques années d'ici, des gens étudieront peut-être certains blogs de mères pour faire évoluer les conditions des parents, tirer des conclusions sur l'éducation des enfants et quoi d'autre encore! De façon un peu moins prétentieuse, nos enfants relieront peut-être des passages et comprendront mieux qui ils étaient et comment ils se comportaient étant jeunes?!

Bref, je me lance dans l'aventure en espérant apporter mon petit grain de sel à ce déjà magnifique réseau de blog de mamans!

Hier avait lieu le lancement de la série web télé Mère Indigne où tout un tas de maman blogueuse se sont rassemblées (d'ailleurs c'est le sujet de toute ce matin, hihi!). Je suis une fan discrète de Mère Indigne depuis ses débuts sur le Web: j'ai tout lu et j'ai même comme projet utopique aujourd'hui d'aller me chercher ma copie du 2e tome (j'en ai d'ailleurs compté les dodos!)! Bref, j'aurais vraiment aimé être du nombre hier soir, mais n'ayant toujours pas assené le coup de pied à mon postérieur pour devenir une humble blogueuse, l'invitation ne m'était pas destinée... et je crois bien que c'est ce sentiment de rejet qui m'a le plus motivé à enfin avoir mon propre petit espace sur la blogosphère! Une fille a de l'orgueuil que voulez-vous!

Alors voilà, pour conclure, j'imagine qu'il serait sage d'à tout le moins me présenter un peu. Je suis donc une maman de 27 ans, qui a vécu 3 grossesses soldé par 2 enfants en santé. Des accouchements bourrés de surprises et d'émotions que je ne me lasse pas de raconter. Une petite émotive de 2 ans et demi et un petit garçon de bientôt 1 an qui me comblent tous les jours. La famille ne semble pas encore complète... la suite bientôt! J'ai aussi la chance d'avoir un mari fabuleux que j'aime passionnément, qui a un côté adolescent "geek" bien présent et qui est un papa dévoué et charmant. Pour en revenir à ma petite personne, je suis dansseuse passionnée en semi-retraite, j'adore organiser, dans une autre vie j'ai été graphiste et intégrateur Web et ça m'arrive d'avoir des rechutes, j'adore cuisiner, je suis perfectionniste sur les bords, j'aime rire... et vous verrez bien pour le reste si vous me lisez!

Sur ce, je vais profiter du beau soleil qu'il y a et du fait que je n'ai que mon petit dernier à m'occuper!

(Ouf, la glace est brisée, premier billet publié...et à peine relu, haha!)